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LES POUVOIRS PUBLICS

L’action publique se compose de décideurs politiques, de fonctionnaires de l’administration centrale, décentralisée et déconcentrée. Néanmoins, malgré une composition très hétérogène d’acteurs, elle se doit de conserver une cohérence dans son action.

La contraception implique une véritable révolution dans la manière de concevoir les naissances pour les pouvoirs publics. Réduire le nombre de grossesses précoces et non désirées est un véritable enjeu de politique publique. De plus, l’autre enjeu fondamental lié à la natalité est la réduction du nombre d’IVG.

Concernant les politiques publiques autour de la contraception, on observe une homogénéité forte. Les politiques publiques vont dans le sens d'une mise à disposition des contraceptifs simples d’utilisation et efficaces pour permettre de limiter le nombre de grossesses précoces et non désirées ainsi que le nombre d’IVG annuels. Plusieurs moyens de contraception (dont plusieurs pilules) font l’objet d’un remboursement complet par l’assurance maladie et les pilules peuvent être délivrées aux jeunes filles mineures sans besoin d’autorisation parentale.

Ces politiques de facilité d’accès à la contraception vont dans le sens d’une volonté des pouvoirs publics de favoriser l’usage des différentes méthodes de contraception et tout particulièrement de la pilule. Les pouvoirs publics, depuis l’introduction de la pilule en 1967 conservent une ligne similaire. Pour eux, la pilule reste un outil utile dans la lutte contre les grossesses précoces et permet la diminution du nombre d’IVG.

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