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La question des effets néfastes sur l’environnement suite à la prise de la pilule est arrivée plus récemment. C’est avec les différentes recherches sur la présence de perturbateurs endocriniens dans les zones aquatiques que la pilule a commencé à être mise en cause sur ce terrain. L’Eglise s’est notamment saisie de ce thème pour renforcer son argumentaire anti-contraception.


Sabrina Debusquat reprend aussi brièvement cet argument dans son livre “J’arrête la pilule”.

Néanmoins, cette question ne fait pas consensus et les parties opposées à cet argument font valoir que si la pilule rejette bel est bien des perturbateurs endocriniens par voie d’urine, ce n’est qu’en quantité dérisoire quand on le ramène à l’ensemble du panier de consommation français.

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