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Certaines patientes souhaitent que leur médecin leur donne plus d’information et leur permette de choisir leur moyen de contraception. Elles souhaitent être pleinement impliquées dans leur parcours contraceptif. Cette demande s’inscrit dans une tendance plus large de valorisation des savoirs et des usages des profanes (les patients).

En effet la médecine française est encore marquée par une vision très paternaliste au sein de laquelle le consentement du malade ne constitue pas la norme de référence et a été intégré dans le code de déontologie médical français seulement en 1995. 

La controverse de la pilule s'inscrit dans une remise en cause plus générale de la médecine des femmes et des violences dénoncées dans le milieu gynécologique.

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